Le streaming légal, gratuit ou payant, a toujours été une force personnelle, qui mène à une sorte d’individualisme.
Streaming ou pas ?
Le monde du streaming, au sens le plus large, reste une source à exploiter. Même ceux qui ne stockent pas eux-mêmes leurs sources peuvent être utiles. Tant qu’ils collectionnent les liens vers des plateformes d’hébergement en streaming, cela reste acceptable, d’ailleurs. Dans tous les cas, reposant sur la publicité, ces plateformes distribueront votre musique.
Pourquoi je me permets de m’exprimer ainsi ? Parce que, après avoir été sur Combat Rock (label de Caps de Charge 69) via Musidisc et NOCO (Label du chanteur du groupe ska Skarface), j’ai eu certaines informations. Parce que, après avoir été sur les labels américains Back Ta Basics recordings et Overit Records via Cheese Fox. je connais les rapports entre labels et musicien(ne)s. Notamment le pourquoi du comment de certains « directeurs artistiques éminents – aux attraits douteux – qui « adorent » imposer des « objets publicitaires » . Ses « artistes » dans l’air du temps, jeunes ou à la masse qui dérapent toujours assez vite (cf. Cadillac Records [2009]) seront toujours interchangeables, émotifs et dupés.
Cela montre une tendance à être de plus en plus compétitifs et « le fait d’être plus obsolète plus rapidement » (Cf. Andy Warhol).
De fait, le marché de la musique est en pleine mutation depuis quelques temps maintenant. Ranger CDs et vinyles ne changent rien pour certains et certaines. Objectivement, la musique dématérialisée reste l’apanage forcé des « sans moyens ». Même si les plateformes musicales sont passé par là, un tableau du peintre Francis Bacon restera toujours aussi cher.
Même si, aujourd’hui, l’achat à l’unité est remis en question, l’essor des services distribuant de la musique en streaming permettant d’écouter tous titres en illimité est indéniable. Underground ou non chacun a sa place et l’Ouroboros n’y est, malheureusement, pour rien.
En conclusion, voici les raisons qui m’ont poussé à « rendre mon album 2017 accessible via le streaming » . Ha, ha, ha !