Harvey Weinstein a été très vilain !
Ryde et Harvey Weinstein, même combat ?
Pourquoi Harvey Weinstein n’est plus « The Artist » ? Parce que, à première vue, votre monde d’ apparences se brise toujours facilement quand des « célébrités » féminines ou masculines crient au scandale. Et comme l’opinion publique dirigée par de « bonnes consciences » a décrété ce « problème », vous sombrez avec elle pour vous rendre utile.
Avant tout, qui sont les victimes et qui sont les prédatrices et les prédateurs de « leur monde » ? Non seulement leur « manège artistique » est une chose, mais son « miroirs aux alouettes » en est un autre. D’ailleurs, ce concept et ses diverses « interactions sociales » ont toujours existé bien avant 1789 et Thomas Paine (1737 – 1809).
D’après vous, dans l’état actuel des choses, qui osent clairement diriger votre boussole pour vous faire perdre le nord ? Il est vrai que tantôt tout est beau, tantôt tout est horrible. En effet, comme dans le film de Brian Frank Visciglia nommé Ryde (2016), les signes extérieurs de richesse ou de beauté sont un gage de moralité. Et puis, tous « êtres humains » issus d’une société à la « Friends » qui optent pour des « choses justes » sont pures ?
C’est ce sujet qui m’a attiré dans ce film avec David Wachs, surtout quand on sait que le Mal et le Bien existent et cohabitent ensemble jusqu’au jour où. Ce n’est pas une absurdité, mais le grand public préfère s’amuser de la moindre bagatelle. D’autant plus quand il peut débattre indéfiniment au lieu d’agir par rapport à leurs « idées de serfs ».
En bref, Paul de Ryde est un Patrick Bateman. Un anonyme proche du mâle alpha ou du producteur américain décrié depuis peu. Il n’est pas Belle Gunness ou Jane Toppan, mais il s’en approche beaucoup. De plus, le final de cet excellent film montre que l’égalité des sexes n’est pas une fiction. Ha, ha, ha !
